SONGS OF FREEDOM, 2011

Jazzmagazine/Jazzman, avril 2011
by Franck Bergerot




























































Nguyên dans la lê gende

Avec «Songs of Freedom», l’électrisant guitariste revisite son panthéon musical. Un disque concept bouillonnant d’invention.
Un disque époustouflant qui ne nous quitte pas depuis trois semaines. On savait ce jazzman moderne sérieux amateur de rock, mais on ne s’attendait certainement pas à un tel déferlement de créativité et d’invention! Avec cet opus qui fera certainement date, Nguyên Lê ne fait pas que rendre le plus vivifiant des hommages aux groupes et aux artistes qui peuplent son panthéon personnel depuis l’adolescence : il partage avec nous une passion sincère et profonde, et scelle à nouveau l’union libre entre les beaux délires du rock et les douces folies du jazz.

Frédéric Goaty 
toute la «cover story» du magazine
«Songs of Freedom» Choc de l’Année 2011 !

Les Eternels

Le dernier bijou de Nguyên Lê vous balade d’un coin à l’autre de la planète plus vite que le défunt Concorde aurait été en mesure de le faire. Toujours en douceur, mais avec un sens de la trajectoire aussi serein que son auteur peut témoigner d’audace et d’esthétique. A sa manière, Nguyên Lê est un Eternel et nous sommes ravis de l'accueillir ici.

Sébastien Roux, Les Eternels.net
http://www.leseternels.net/chronique.aspx?id=4495

et aussi interview du 24 fevrier 2011:
http://www.leseternels.net/interviews.aspx?id=355



Télérama Sortir

CONCERTS  - FOLK - JAZZ Le 4 mai 2011
Nguyen Le Songs of Freedom
Note de la rédaction : TTT Bravo 

Nouveau disque du guitariste Nguyên Lê, fleuron français du label ACT et musicien passionnant parce qu'il ne cesse d'inventer des projets qui ne ressemblent qu'à lui (même si Jimi Hendrix reste sa référence majeure). Pour "Songs Of Freedom" (titre de Bob Marley), il a convoqué en studio sur plusieurs mois le quartet formé de lui-même, d'Illya Amar (vibraphone, marimba), Linley Marthe (basse), Stéphane Galland (batterie), plus des invités vocalistes comme Youn Sun Nah, David Linx, des instrumentistes comme David Binney, Chris Speed. Le concert réserve sans doute des surprises de ce côté-là.

Michel Contat

Le rock-pop asiatisé par un jazzman français d'origine vietnamienne avec des voix venues du monde globalisé.
La présence enthousiaste de Youn Sun Nah sur deux titres, celle de David Linx convoquant le jazz-jazz, de Julia Sarr l'Afrique parisienne, de Himiko Paganotti l'univers (elle n'est pas fille de Magma pour rien), d'Ousman Danedjo l'Afrique adoptante, transporte. Quant à la guitare de Nguyên Lê, d'une virtuosité terrassante dans ses arrangements de tubes superbement servis par le groupe (Illya Amar au vibra, Linley Marthe à la basse, Stéphane Galland à la batterie), elle tourbillonne dans l'énergie. Du jazz-rock free et multicolore dans les doigts et la tête.

Michel Contat
Telerama n° 3195 - 09 avril 2011

Amazon.fr
Songs of Freedom : numero 1 des meilleurs ventes Jazz le 10 & 11 avril 2011
Fnac.com
Songs of Freedom : numero 1 des meilleurs ventes Jazz le 24 avril 2011

Guitarist
Une fois l’étonnement de la première écoute passé, on se lasse vite prendre au charme de cet hommage sincère, qui bouscule intelligemment nos habitudes & nous sort des sentiers battus. Gonflé mais ultra musical.

Olivier Bride avril 2011


Le Monde
Avec une formation de base, nerveuse et électrisante, et une dizaine d'invités, vocalistes (David Linx, Himiko Paganotti…) et instrumentistes (Karim Ziad, Keyvan Chemirani…), Nguyên Lê propose des pistes croisées entre rock, pop soul et musiques du monde. Par endroits, Nguyên Lê reste près des compositions originelles ou de leurs arrangements, ailleurs il chamboule tout ou insiste sur une ambiance (par exemple "Mercedes Benz" de Janis Joplin qui creuse le sillon du blues rural). Dans tous les cas, même dans une approche "respectueuse" ("Black Dog", de Led Zeppelin, direct et rageur, "Pastime Paradise", de Stevie Wonder, berceuse vocale et planante), Nguyên Lê fait preuve d'une inventivité constante, en particulier par des virées vers des découpes impaires du rythme.

Sylvain Siclier  1er avril 2011


All about Jazz.com
Depuis près de 20 ans, Nguyên Lê a collaboré avec un cercle grandissant de musiciens de la même inspiration -principalement à Paris, où le guitariste d’origine vietnamienne réside, édifiant un travail qui est, dans le véritable sens du mot, une «musique du monde». Lê s’est creusé un espace unique, faisant souvent penser à la fusion dans son électricté & son énergie, mais évitant les connotations négatives; indéniablement centré autour du jazz aussi, mais évitant largement toute référence ouverte au traditionalisme. 
Il s’agit clairement, pour Lê, d’une prérogative sans entraves qui commence avec les plus simples des chansons et finit avec une réécriture beaucoup plus élaborée remplie de détails pointillistes. Songs of Freedom combine un respect sincère avec une absolue irrévérence, soufflant une sorte de vie totalement différente dans ces chansons, quatre décennies après qu’elles soient venues au jour.

John Kelman, 15 avril 2011


La Croix
Nguyên Lê, grand alchimiste

Bien qu’il y rende hommage au rock & à la pop des années 1960 & 1970, Nguyên Lê retrouve dans ce nouvel opus, Songs of Freedom, l’une des plus belles traditions du jazz. Celle qui consiste à se réapproprier un thème connu & à le transfigurer totalement. Les chansons prennent, grâce à de magnifiques arrangements, une teinte imprévue. Les oreilles écarquillées, on leur découvre à chaque note des richesses insoupçonnées que le jeu lumineux du guitariste vient souligner avec élégance. Une vraie réussite.
Yann Mens, 16 avril 2011


Jazz News
... Il s’appuie sur de beaux arrangements qui se traduisent par de surprenantes recréations... Un disque formidable qui devrait se transformer en un spectaculaire projet sur scène.
Francisco Cruz, avril 2011


Les Dernières Nouvelles du Jazz
Au départ c’est presque une vieille histoire d’adolescent. À l’arrivée, cela donne un disque absolument énorme où le guitariste réinvente absolument tout. Redonne une nouvelle vie à ces tubes interplanétaires que Nguyen Lê refaçonne avec génie. Tout prend une couleur nouvelle. Le I Wish de Stevie Wonder par exemple, est totalement réinventé par David Linx qui déjante et en porte quelque chose de profondément tripal. Tripal, c’est exactement le mot de cet album qui va chercher dans cette sauvagerie du rock et de la pop quelque chose de RADICAL.  Whole Lotta Love de Led Zep ( les paroles raffinèes en gros c’est « je vais te la mettre profond ») transcendé par Youn Sun Nah dans une totale acculturation de la chanson.. Et que dire de ce beau Mercedes Benz de Janis Joplin porté par la voix sublime de Himiko Paganotti ! 
Il y a bien sûr ces racines vietnamiennes que Nguyen Lê ne renie pas et que, au contraire il utilise avec une pointe de génie en recourant parfois à la guitare vietnamienne ( sur quelques petites heureuses incises en guise d’introductions). Mais, nous le disions, ces tubes sont interplanétaires et donc quelque part universels. Il y a donc aussi de l’Afrique dans cet album ( Pastime Paradise par exemple avec Ousman Danedjo) et du blues qui se moque des frontières. Et surtout Il y a tout au long de l’album la guitare de Nguyen Lê, parfois guitare héro parfois au contraire nuançant les couleurs. Nguyen Lê a cette capacité de transformer son instrument avec une science de l’improvisation exceptionnelle capable d’imprimer la marque de tous les thèmes entre Europe, Afrique, Orient et Occident. Ecoutez par exemple comment avec subtilité il s’empare de Mercedes Benz de Janis Joplin pour l’amener petit à petit à un rock qui racle, qui graille, qui transcende le tout. Sur Black Dog il ne cherche pas à dénaturer et reste au contraire au plus près du sujet d’origine en l’explosant littéralement en vol avec son complice de longue date Dhafer Youssef qui sort le thème d’une transe magique et là encore tripale. 
 Et il y a au final ce prodigieux travail d'arrangement. Entendez par là cette écriture - réécriture dont Nguyen Lê fait montre tour au long de l'album avec en toile de fond une direction artistique de haute volée. Avec ces thèmes connus, reconnus et redécouverts, le résultat est purement et simplement jubilatoire.

Jean-marc Gelin
Standing on a thin rope
Nguyên Lê - Songs of Freedom
c'est bien cette sensation de liberté que l'on ressent à l'écoute de cet album. comme si ces chansons si populaires ayant fait le tour du monde s'étaient imprégnées de tous les sons et toutes les odeurs où elles furent chantonnées et sifflées, et qu'elles revenaient transformées et pleines de cette liberté de ton, liberté d'être interprétées dans un kaléidoscope d'influences qui virevoltent et s'enrichissent sans s'opposer. La première découverte de ces interprétations, la surprise continue provoquée par l'audace et l'inventivité des arrangements, leur fraîcheur ...
surtout, coupez votre mobile et fermez la porte, pendant les 70 premières minutes que vous passerez en compagnie de cet album
encore mieux, écoutez-le avec une personne que vous aimez ... fort.
11 avril 2011


Les Echos
Attention chef-d'oeuvre ! Les musiciens de jazz adorent se frotter aux musiques plus populaires (chanson, rock...). Mais, le plus souvent, c'est raté. A l'inverse, le guitariste d'origine vietnamienne Nguyên Lê vient de réaliser un enregistrement qui fera date. Jamais personne n'avait livré autant de versions riches et subtiles de tubes pop ou rock.
Renaud Czarnes 5 mai 2011


Le Nouvel Observateur : Télé Ciné Obs
L’un des plus inventifs parmi les les guitaristes du jazz contemporain.
Gerald Arnaud 30 avril 2011

Batteur Magazine
.... le tout dirigé, enregistré & mixé par Nguyên Lê avec le bon goût dont il est coutumier, est tout simplement excellent. Très talentueux, Nguyên l’est, sans aucun doute.
Thierry «Fantobasse» Menu, mai 2011

Le Quotidien du Médecin
Jamais le Jazz hexagonal ne s’est aussi bien porté. Un signe en ces temps de crise du disque. ... Nguyên Lê se répproprie & réinvente des thèmes connus & populaires... Une alchimie mélodique & une évocation recolorée de tubes devenus indémodables, sur des arrangements plus que surprenants à l’oreille.
Didier Pennequin, 18 avril 2011

La Savoie
Notre disque coup de coeur
Avec tous les musiciens du monde, croisés sur des concerts, des albums, Nguyên Lê revient aux groupes et aux chansons mythiques des années 70. Le guitariste explorateur & précuseur des musiques métissées offre un étonnant champ de découverte. Ne trahissant jamais la patte originelle, il inscrit la sienne, révèle toute la richesse des compositeurs, développant de nouveaux univers, de nouvelles voies d’interprétation & d’audition. Poussez votre régal jusqu’au bout de l’album avec Sunshine of your love, un Clapton délicieusement africanisé, & Come Together, le Beatles trempé dans l’âme indienne... Etourdissant !
5 mai 2011

Citizen Jazz
Songs Of Freedom, dont le titre est emprunté à Bob Marley, n’est pas toutefois un simple hommage guitarisant à Janis Joplin, Stevie Wonder, Led Zeppelin, Bob Marley, à Cream ou aux Beatles [4] : si la profusion des couleurs de la guitare est toujours aussi ébouriffante, l’intérêt du disque est plutôt dans une autre proposition de définition pour ce qu’on nomme généralement world music. L’énergie est préservée, mais les couleurs sont totalement renouvelées. Un fantastique travail d’arrangement qui confère à une musique née pour l’essentiel au cœur des années 70 un petit parfum d’éternité, en passant par l’Afrique, l’Inde ou l’Extrême-Orient !
Une heure de musique où Nguyên Lê, plus œcuménique que jamais, répand la lumière et nourrit Songs Of Freedom d’une inspiration constante. Sa guitare sonne, toujours envoûtante, par vagues électriques imprégnées de son Viêt-Nam originel, avançant à chaque instant par une démultiplication de teintes virtuoses et chaudes, depuis les arpèges délicats de « Pastime Paradise » ou « Eleanor Rigby », posés à même la voix de Youn Sun Nah, jusqu’au parti-pris résolument hard rock de « Black Dog ».
Le disque est à aimer pour ce qu’il est : une invitation altruiste au voyage, une découverte/rencontre à visée pacifique entre les civilisations de la planète Terre.
Denis Desassis // Publié le 27 juin 2011
FLY Global Music Culture
Lê est toujours le guitariste le plus excitant sur la planète en ce moment.

Gerry Hectic, May 11, 2011


Jazztimes USA
Dans le livret de Songs of Freedom, le trésor parisien de la guitare Nguyên Lê explique comment cet album est sa lettre d’amour aux chansons mythiques des années 70. Lê avait eu un objectif similaire avec son album de 2002, « Purple: Celebrating Jimi Hendrix». Cette fois çi il est arrivé à un constat encore plus puissant qui transcende la guitare elle même. Il y a des réharmonisations radicales, des lignes contrapuntiques brillantes qui soulignent ces thèmes connus, & Lê utilise intelligement une poignée d’éléments ethniques. Depuis ce bouillon grisant & créatif il déchaine un des plus renversants & originaux jeux de guitare depuis Allan Holdsworth. Avec sa remarquable facilité & son imagination fertile, Lê a façonné de nouveaux hymnes pour une époque pan-globale.

Bill Milkowski, Jazztimes, July/August 2011


Options Magazine
Songs of Freedom recèle beaucoup de savoureuses surprises musicales, grâce au casting world international que Lê a assemblé & à ses arrangements imaginatifs & peu conventionnels. Comme guitariste, il est unique, & son jeu créatif pousse continuellement ce programme éclectique & varié bien au-dela du domaine de la simple cover. Presque tout les artistes de ce disque sont reconnus en Europe ou en Asie, & la qualité artistique & la sophistication qu’ils apportent aux arrangements de Lê nous ouvre l’esprit. En écoutant cette musique le monde semble plus petit & mieux connecté - ce qui était une des intentions revendiquées de Lê.

Bill Tilland, Options Magazine, June 2011, USA
Interviews/Entrees/2011/3/31_Cover_story_in_Jazzmag_Jazzman_by_Frederic_Goaty.htmlInterviews/Entrees/2011/3/31_Cover_story_in_Jazzmag_Jazzman_by_Frederic_Goaty.htmlhttp://www.leseternels.net/chronique.aspx?id=4495http://www.leseternels.net/interviews.aspx?id=355http://sortir.telerama.fr/concerts/nguyen-le-songs-of-freedom,29482.phphttp://www.lemonde.fr/sujet/6591/himiko-paganotti.htmlhttp://www.lemonde.fr/sujet/09d4/keyvan-chemirani.htmlhttp://www.lemonde.fr/sujet/cb37/janis-joplin.htmlhttp://www.lemonde.fr/sujet/c8c4/led-zeppelin.htmlhttp://www.lemonde.fr/sujet/8ae1/stevie-wonder.htmlhttp://www.allaboutjazz.com/php/article.php?id=39192http://www.lesdnj.com/article-nguyen-le-song-of-freedom-72438529.htmlhttp://standingonathinrope.blogspot.com/2011/04/nguyen-le-songs-of-freedom.htmlhttp://www.lesechos.fr/culture-loisirs/sorties/musique/0201288578868-songs-of-freedom-nguyen-le.htmhttp://www.citizenjazz.com/Nguyen-Le,3465664.htmlhttp://www.citizenjazz.com/Nguyen-Le,3465664.html#nb4http://www.citizenjazz.com/_Denis-Desassis_.htmlhttp://www.flyglobalmusic.com/fly/archives/europe_reviews/nguyen_le_songs_of_freedom.htmlhttp://option-magazine.com/2011/06/13/nguyen-le-songs-of-freedom-act-music/http://livepage.apple.com/shapeimage_1_link_0shapeimage_1_link_1shapeimage_1_link_2shapeimage_1_link_3shapeimage_1_link_4shapeimage_1_link_5shapeimage_1_link_6shapeimage_1_link_7shapeimage_1_link_8shapeimage_1_link_9shapeimage_1_link_10shapeimage_1_link_11shapeimage_1_link_12shapeimage_1_link_13shapeimage_1_link_14shapeimage_1_link_15shapeimage_1_link_16shapeimage_1_link_17shapeimage_1_link_18

  2011 : articles de presse